Le site « mon.service-public.fr » permet d’accomplir ses démarches administratives en ligne, de suivre leur état d’avancement, de dialoguer avec les services publics mais aussi de stocker ses documents administratifs sur un espace sécurisé, de les transmettre au service public concerné ou d’autoriser ces mêmes services à y déposer des documents concernant l’usager.
Parmi les initiatives foisonnantes initiées par les entrepreneurs sociaux, ce recueil de bonnes pratiques en valorise certaines qui ont fait leurs preuves. Ce document, issu d’un travail mené conjointement par le Centre d’analyse stratégique et le programme LEED (Développement économique et création d’emplois locaux) de l’OCDE, témoigne de la richesse et la diversité de ce secteur.
L’Entraide du bassin d’emploi (EBE), entreprise berrichonne adhérente à COORACE, étudie depuis cinq ans le principe d’un module de formation court délivrant une attestation qui certifie que le stagiaire maitrise les fondamentaux du métier. Ce type de formation, qui n’existe pas pour le moment, répond à un réel besoin des employeurs sur le marché du travail.
Le Centre d’analyses stratégiques publie une note d’analyse sur la place de l’entrepreneuriat social. L’étude propose des solutions pour permettre à l’économie sociale de changer d’échelle et aborde deux aspects :
- la percée de l'entrepreneuriat social résulte-t-elle d’un effet de mode ou d’un changement structurel ?
- quels sont les leviers pour impulser un changement d'échelle ?
Voici une synthèse de cette note :
Cette étude a été réalisée par Philippe Frémeaux, Directeur de la rédaction d'Alternatives Économiques et chroniqueur à France Info. Elle aborde deux sujets peu traités auparavant : les limites endogènes au développement de l’ESS et la place de l’ESS dans une économie soutenable.
Voici une courte synthèse de ce rapport qui retrace les principales idées de Philippe Frémeaux :
- Des limites liées au périmètre défini
Lancé en 2010 par le gouvernement, le Programme d’Investissement d’Avenir (PIA) comprend une enveloppe de 100 millions d’euros destinée à favoriser l’innovation sociale et à soutenir les investissements créateurs d’emplois des structures de l’Economie Sociale et Solidaires (ESS). La Caisse des Dépôts gère, avec l’appui de France Active, l’attribution de ces 100 millions d’euros.
Selon une étude de l’INSEE, l’écart est moins important dans l’économie sociale que dans le privé entre les plus faibles et les plus hautes rémunérations. Les salariés des associations, les plus nombreux, ont globalement des revenus assez faibles, qui ne s’expliquent pas seulement par la nature des emplois et les domaines d’activité. Ils sont aussi plus souvent à temps partiel.
La santé est un des rares secteurs où les salariés sont en moyenne mieux payés que dans le privé, grâce notamment à certains emplois très qualifiés dans des centres de recherche.
Ce documentaire, réalisé en partenariat avec La Croix et intitulé « entreprendre autrement », présente les témoignages d’entrepreneurs sociaux ainsi que des interventions d’experts.
Les témoignages des 4 entrepreneurs sociaux interviennent sur les champs suivants :
- le sport pour vaincre la dépendance et l’isolement
- retisser le lien social dans les banlieues
- l’insertion par l’emploi
- la réduction de la fracture alimentaire
Les experts interviewés :
- Christian Sautter, Président de France Active
Lors du Salon des Entrepreneurs de Paris du 2 février 2012 dernier, CMN Partners a présenté le baromètre et ses premiers résultats sur les grandes aires urbaines. Le BEST est le premier classement annuel des territoires français vis-à-vis de l’entrepreneuriat social. Il s’agit d’un outil récurrent qui permettra de mesurer l’évolution de chaque territoire, orienter les politiques territoriales, augmenter la notoriété de l’entrepreneuriat social au niveau local.
Le 2 février, la Dares a publié une étude, en collaboration avec la Direction générale du Trésor sur l’impact des allègements de cotisations sociales patronales sur l’emploi et les bas salaires, en France, de 1993 à 2009. Cette étude revient sur l’engagement du gouvernement d’exonérer de cotisations patronales les salaires moyens au nom de la compétitivité et estime que si les allégements actuels étaient supprimés, entre 400 000 et 1,1 millions d’emplois disparaîtraient.
